clientalexis a écrit:Le bruit vous l'entendez depuis l'habitacle, ou en étant à côté de la voiture
Leuen a écrit:Pas envie de voir déjà mon véhicule immobilisé et déjà désossée alors qu'elle n'a pas deux semaines en plus le rodage arrive bientôt au bout.
tintinRS74 a écrit:Les contrôles sont pas forcément à mettre en cause, il se peu (et il semble que cela soit le cas) que la faiblesse de la pièce ne se déclare que à partir d'une certaines usure (rapide certes).
FRN a écrit: En ce qui concerne un hypotétique rappel, il faut se mettre à la place du constructeur (Renault ou autre). D'un côté, vous avez le danger(ici, casse du moteur), l'exposition (= fréquence d'apparition du danger) que le constructeur doit évaluer. Même si le danger est grand, si l'exposition est considérée comme faible, alors le risque sera considéré comme acceptable. Le niveau d'acceptabilité de ce risque est déterminé par plusieurs éléments :
- l'image de marque (des 100aines de moteurs qui cassent sur une voiture de ce niveau, ça fait mal, cf Toyota, vs des 1000iers de voitures rappelées pour une courroie ...)
- le coût d'un rappel = contact des clients + mobilisation des équipes + mobilisation des techniciens dans les concessions + coûts des pièces + prêts de véhicules + ...
Bref, d'un point de vu client, le niveau d'acceptabilité devrait être bas (pour ne pas dire nul).
Mais d'un point de vu économique pour la marque, c'est pas si simple. Et je ne vous parle même pas du temps qu'il faut pour prendre la décision d'un rappel de cette envergure. Il faut qu'une petite main ose proposer la solution puis que les 20 sous-chefs donnent leur aval avant que la décision soit prise en commité de direction et/ou de crise ...
Pour le rappel, on verra ce que l'avenir nous dira.
Par contre, c'est à surveiller ... de très près.
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